Avis de décès de Madame Elyette STASZAK née BONDOIS
Publié le 22 février 2025 à THUMERIES
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Elyette STASZAK née BONDOIS
Née le 31 mai 1946 à HARNES
Décédée à THUMERIES
le 22 février 2025 à l'âge de 78 ans
Domiciliée à Thumeries
le 22 février 2025 à l'âge de 78 ans
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3 Rue Emile Zola
59239 Thumeries
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Chère famille, chers amis,
Nous avons la grande tristesse de vous faire part du décès de
Elyette STASZAK née BONDOIS
survenu le samedi 22 février 2025, à l'âge de 78 ans.
La cérémonie civile aura lieu
le jeudi 27 février 2025 à
10 heures 30 à l'adresse suivante :
Salon Funéraire Senet, 3 Rue Emile Zola, Thumeries, France.
Cette page vous permet de présenter vos condoléances à la famille et de partager l'avis de décès de Elyette.
Avec toute notre affection.
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Déroulement des funérailles de Madame Elyette STASZAK
1
Cérémonie Civile
Le jeudi 27 février 2025
à 10h30
Salon Funéraire Senet
3 Rue Emile Zola, 59239 Thumeries
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11 hommages ont été rendus :
Message de Nicole trocmet
Publié le mercredi 26 février 2025 à 17h54
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de Anne marie Rossignol
Publié le mercredi 26 février 2025 à 11h16
" Sincères condoléances en cette douloureuse épreuve à toute la famille.
Anne marie Rossignol et famille chavatte "
Anne marie Rossignol et famille chavatte "
Réponse de La famille de Elyette STASZAK
Publié le jeudi 27 février 2025 à 17h46
" Toute la famille a été touchée par vos témoignages de soutien et de sympathie. Nous vous en remercions sincèrement.
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Message de Jean-François Meignotte
Publié le mercredi 26 février 2025 à 09h44
" Sincères condoléances. "
Réponse de La famille de Elyette STASZAK
Publié le jeudi 27 février 2025 à 17h46
" Toute la famille a été touchée par vos témoignages de soutien et de sympathie. Nous vous en remercions sincèrement.
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Message de bertrand wallet
Publié le mardi 25 février 2025 à 17h51
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de Jean Casimir Karpinski
Publié le mardi 25 février 2025 à 17h28
" Je ne peux me déplacer pour rendre un dernier hommage à Elyette mais recevez toutes mes condoléances en ce triste moment.
Jean Karpinski de la cité du bois "
Jean Karpinski de la cité du bois "
Réponse de La famille de Elyette STASZAK
Publié le jeudi 27 février 2025 à 17h46
" Toute la famille a été touchée par vos témoignages de soutien et de sympathie. Nous vous en remercions sincèrement.
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Message de Marie therese Vasse chere
Publié le mardi 25 février 2025 à 13h17
" Je présente mes sincères condoléances à toute la famille de Madame Staszak qui a rejoint Richard .
vos parents étaient des personnes courageuses . Richard a travaillé avec mon mari au service commercial ;bien cordialement, M -T Vasse . "
vos parents étaient des personnes courageuses . Richard a travaillé avec mon mari au service commercial ;bien cordialement, M -T Vasse . "
Réponse de La famille de Elyette STASZAK
Publié le jeudi 27 février 2025 à 17h46
" Toute la famille a été touchée par vos témoignages de soutien et de sympathie. Nous vous en remercions sincèrement.
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Isabelle a commandé des fleurs
Publié le mardi 25 février 2025 à 09h23
" Toutes nos condoléances
Catherine et Isabelle "
Catherine et Isabelle "
Réponse de La famille de Elyette STASZAK
Publié le jeudi 27 février 2025 à 17h46
" Toute la famille a été touchée par vos témoignages de soutien et de sympathie. Nous vous en remercions sincèrement.
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Message de Catherine Dubar
Publié le mardi 25 février 2025 à 07h33
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de christine cempel
Publié le lundi 24 février 2025 à 19h06
" Je vous adresse mes plus sincères condoléances en ces moments douloureux.
Madame Cempel Christine "
Madame Cempel Christine "
Réponse de La famille de Elyette STASZAK
Publié le jeudi 27 février 2025 à 17h46
" Toute la famille a été touchée par vos témoignages de soutien et de sympathie. Nous vous en remercions sincèrement.
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Je vous mets à disposition le discourt réalisé en sa mémoire.
"Elyette est née le 31 mai 1946 à Harnes. Son père Charles était mineur, sa mère Julie s’est occupée de l’éducation des enfants, Marie-Lou, Raymond, Brigitte et Elyette.
De son enfance, Elyette aimait se souvenir des vacances en famille à La Napoule.
Elle a suivi les cours de l’école ménagère. Elle en est sortie avec un goût certain pour la couture et a, alors, commencé à travailler en confection.
Durant ses études, elle aura l’occasion, l’été, de retourner à La Napoule pour y travailler en tant que femme de chambre. Elle y retrouvait des amies et passait de bons moments.
Au début des années soixante, Elyette participe à de nombreux concours de Miss. Elle sera notamment élue Reine du Printemps, Reine du Grand Bal des Rois ou encore Reine du Muguet. Cela la rendait très fière et elle en parlait souvent.
En 1966, elle rencontre Richard lors d’un bal. Ils se marient en 1967 et s’installent à Harnes. Olivier naît l’année suivante. Richard ayant trouvé un travail chez Beghin Say, la famille déménage à Thumeries.
En 1971, Séverine naît et Fabrice vient compléter la fratrie en 1973.
Thumeries était une ville qui l’avait séduite plus jeune. Un jour, en passant en bus, elle avait découvert le Chateau Blanc et elle s’était alors dit qu’elle aimerait vivre dans cette ville charmante.
A son arrivée à Thumeries, elle arrête de travailler en confection pour se consacrer à ses enfants. Par la suite, Elyette reprendra une activité professionnelle en faisant des ménages chez les particuliers.
A 44 ans, elle est devenue une jeune grand-mère. Elle était d’ailleurs très fière d’être la mamie de nombreux petits enfants.
Pendant que Richard s’occupait du potager, Elyette aimait prendre soin des plantes et des fleurs du jardin. Elle ne se lassait pas d’admirer ses rosiers, pivoines, hibiscus et autres bruyères. Son activité favorite du mois d’avril était de voir poindre les premiers brins de muguet et d’espérer leur floraison pour le 1er mai.
Elle aimait observer les mésanges, tourterelles, rouge-gorges, geais qui venaient picorer la nourriture qu’elle leur laissait sur le rebord de la fenêtre de la cuisine.
Dès son plus jeune âge, Elyette s’est entourée d’animaux. A la maison, la famille a accueilli de nombreux oiseaux, chats, chiens. C’est d’ailleurs avec beaucoup de tristesse qu’elle a dû confier son dernier chien, Colombo, à sa famille, ne pouvant plus s’en occuper elle-même.
C’était une fan inconditionnelle de Johnny. Chaque année, elle attendait avec impatience la sortie du calendrier de celui-ci pour compléter sa collection.
Elle aimait la lecture, les romans d’amour mais aussi les policiers.
Ces dernières années, sa santé s’est progressivement dégradée. Le décès de son mari, la perte progressive d’autonomie n’ont pourtant pas entaché son moral. Elyette est toujours restée combative, continuant de blaguer et se réjouissant des “petites choses de la vie” : un rayon de soleil, le chant des oiseaux … Elle n’était pas seule. Elle a su tisser avec les aidants qui l’accompagnaient une véritable relation, nouant avec chacun de forts liens d’amitié.
Elyette va beaucoup nous manquer." "
Message de Adeline Monneveux
Publié le lundi 24 février 2025 à 19h02
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "
Message de Pauline Richard
Publié le lundi 24 février 2025 à 18h56
" Cet hommage n’est visible que par la famille. "